La MRC d'Arthabaska priorise encore et toujours une saine gestion des fonds publics

Il faut toutefois préciser que le pourcentage de l’évolution des contributions municipales à la MRC d’Arthabaska par rapport à la richesse foncière uniformisée (RFU) des municipalités est en baisse.

Pour 2017, la quote-part municipale est de plus de 5,1 millions $, alors que la RFU est de 6,736,851,781$, soit 0,076%. Ce pourcentage se chiffrait plutôt à 0,086% en 2014, alors que la quote-part se chiffrait 5,038,750$ pour une RFU de 5,858,061,247$.

"Nous avons toujours optimisé une saine gestion des fonds publics et ce budget n’en fait pas exception, alors qu’il a été adopté au terme d’un exercice financier rigoureux. Cet exercice nous permet d’offrir aux 22 municipalités composant la MRC d’Arthabaska une vaste gamme de services destinés au bien-être des citoyennes et des citoyens", mentionne le préfet de la MRC d’Arthabaska, monsieur Lionel Fréchette.

Il faut savoir que la MRC est active dans une panoplie de secteurs. Elle soutient, entre autres:

• la Corporation de développement communautaire des Bois-Francs
• le service de transport collectif Municar
• le financement et l’opération d’un réseau de fibre optique reliant les bureaux municipaux du territoire
• la campagne majeure de financement de la Fondation Hôtel-Dieu d’Arthabaska.

Il ne faudrait pas omettre le soutien de la Corporation du Parc linéaire des Bois-Francs, en partenariat avec la MRC de l’Érable, en ce qui a trait à la gestion, l’entretien et la promotion des 77 kilomètres de la Route verte, et la livraison des programmes de rénovation et d’adaptation domiciliaire de la Société d’habitation du Québec.

Le remboursement de la dette de la création de Gesterra et l’appui à la Régie intermunicipale de restauration et de préservation des Trois-Lacs, en partenariat avec la MRC des Sources, sont d’autres dossiers gérés par l’administration de la MRC d’Arthabaska.

"Nous souhaitons être en mesure de répondre adéquatement à notre nouveau rôle en matière de développement territorial, et ce, depuis l’abolition des conférences régionales des élus (CRE). C’est pourquoi nous avons déterminé des montants au budget pour soutenir la Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région qui s’occupe justement d’appuyer les milieux industriel, commercial, touristique et agricole.

Nous poursuivrons également d’offrir divers services, notamment en aménagement du territoire, en évaluation foncière, en gestion des matières résiduelles et des cours d’eau, en développement culturel et plus encore", ajoute monsieur Fréchette.

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